Seras-tu mon maître ou mon esclave ? À toi de décider ! Coucou, moi je m’appelle Tania et j’ai 24 ans. Je suis une jeune parisienne qui adore quand l’adrénaline monte. Tout ce qui est peu ordinaire ou extrême m’enchante. Voilà pourquoi je suis accro aux pratiques sados machistes. J’adore m’exhiber en cuir, en mini-jupes ou en petites robes. En plus, j’ai de très belles et longues jambes qui donnent envie. Avec mes cuissardes ou mes bottines, je me sens toujours pleine d’assurance et prête à subir ou à faire subir. Lorsque je suis dominée, j’aime me faire menotter et bander les yeux. Ainsi, mon maître peut m’asservir selon ses désirs.
Raconte-nous une histoire de sexe vécue
J’ai vécu l’une de mes meilleures histoires de sexe avec mon boss au travail. Jusqu’à l’année dernière, je travaillais à temps partiel comme danseuse dans une discothèque. Eh oui, la danse est l’un de mes atouts. Je sais bouger mon joli corps de façon très sensuelle au point de susciter le désir sexuel.
Mon patron et moi avions rapidement développé une relation amicale. J’étais sa privilégiée à vrai dire. Il ne cessait de me complimenter sur mes différentes prestations. Il me gratifiait même de bonus sur ma paie. Pour couronner sa gentillesse et sa générosité, il est charmant. Difficile de ne pas succomber à un tel homme.
C’est ainsi qu’au fil du temps, nous avons démarré une aventure. Il n’était pas question d’amour, mais exclusivement de sexe. Je me rendais dans son bureau après mes prestations pour des parties de jambes en l’air torrides. Je m’étais rarement entendue aussi bien avec un baiseur. Il y avait une véritable connexion sexuelle entre nous. Nous nous comprenions rien qu’à travers un regard. Nous adorions pimenter nos ébats sexuels en expérimentant de nouvelles positions ou en utilisant des jouets.
Un samedi soir, après avoir fini mon boulot, je me suis rendue dans son bureau pour notre rendez-vous coquin habituel. D’une voix grave, mon chef me fit comprendre qu’il a une surprise pour moi. J’étais un peu paniquée et me demandais bien de quoi il s’agissait. Il m’introduisit dans une pièce secrète, cachée par l’énorme tableau qui ornait son bureau. L’aspect lugubre et sombre de ce lieu peint en gris m’intriguait et m’attirait à la fois. Je vous l’ai dit, j’aime les sensations fortes. Je suis toujours partante quand je sens un danger à l’horizon. Ça m’excite !
En avançant un peu plus, j’ai remarqué la présence d’un espalier en bois, de deux crochets et d’une poulie de plafond. Des anneaux se trouvaient aux murs. Je m’arrêtai alors à cet instant et lui demandai s’il était un pratiquant de sado machisme. Sa réponse fut affirmative. Avec ses mains, il se mit à caresser du bout des doigts mon visage et m’interrogea : « As-tu envie d’être ma soumise ? » À cette question, je pris une profonde respiration avant de répondre oui. J’ai toujours été fascinée par le BDSM que j’ai pu découvrir à travers mes lectures et certains films.
Dans un coin de la salle BDSM, était installé un meuble où étaient disposés une panoplie de fouets en cuir, de cravaches et de martinets. À la vue des bracelets de poignets et d’un bandeau noir, j’inondai ma mini-jupe en latex en imaginant ce que mon chef pourrait bien me faire une fois qu’il me les aura mis.
Comme s’il savait ce à quoi je pensais, mon maître m’ordonna de me dénuder. Ensuite, il immobilisa mes mains avec les bracelets de poignets. Il couvrit mes yeux avec le bandeau. Mon excitation ne fit que s’accroître. Il me guida puis m’attacha à ce que j’ai cru être un espalier. Après quelques secondes durant lesquels je n’entendis que ses pads, j’ai été effleuré par je ne sais quoi trop. J’appréciais la sensation que cela me procurait.
À un moment, j’ai senti qu’il me cravachait. Il a démarré avec de petits coups avant de monter leurs intensités. J’avais mal, mais je prenais clairement mon pied. Il me fit descendre et m’intima l’ordre de m’agenouiller pour lui sucer la queue. J’ai une bouche experte en la matière. J’aurais bien voulu saisir sa bite dans ma main avant de la sucer, mais je n’étais pas libre de mes mouvements.
C’est contre l’unique meuble contenant ses instruments de punition qu’il me baisa avec force. J’ai dû recevoir pas moins d’une cinquantaine de claques aux fesses. Lorsqu’il voulut éjaculer, il se retira de ma chatte et me mit à genoux de force. Pendant qu’il se branlait pour jouir, il me cracha au visage. À cet instant, ma face fut badigeonnée de son foutre.
Raconte-nous un fantasme
Mon fantasme est de dominer un chauffeur routier dans son camion. J’ai toujours perçu les chauffeurs routiers comme des hommes virils, voire des supers héros et ça m’enchanterait d’en prendre un en main pour en faire mon esclave.
Que fais-tu au Tel Rose ?
Si tu es Sado Maso, nous allons bien nous entendre au Tel Rose. Je suis là pour te faire connaître tous les plaisirs du sado masochisme.