Tel Rose CB Cougar avec Shéhérazade

Pour commencer, qui est Shéhérazade, cette mystérieuse cougar de Nantes dont les hommes parlent avec autant de désir ?

Je m’appelle Shéhérazade, j’ai la quarantaine assumée, le sourire facile et un regard qui en dit souvent plus que mes mots. J’ai grandi dans une petite ville de Loire-Atlantique avant de m’installer à Nantes pour mes études d’arts, et je crois que ça se sent encore dans ma façon d’observer les gens, de décortiquer leurs émotions et leurs fantasmes. Physiquement, je suis une femme mûre qui s’assume : des formes douces, des courbes présentes, une allure de femme cougar bien dans sa peau, qui sait ce qu’elle veut et surtout ce qu’elle aime.
Dans la vie, je suis plutôt calme, douce, très à l’écoute, mais ceux qui prennent le temps de m’apprivoiser découvrent vite mon côté espiègle et taquin. J’adore rire, provoquer gentiment, jouer avec la voix et les silences… C’est d’ailleurs ce qui rend mes appels au téléphone rose si particuliers : je ne joue pas un rôle figé, j’invite l’homme en face à entrer dans mon univers, mélange de tendresse, de sensualité et de petits défis suggestifs. Avec moi, on ne s’ennuie jamais, mais on se sent toujours respecté et considéré. C’est ma marque de fabrique de cougar nantaise.

Comment es-tu passée de la galerie d’art aux conversations intimes sur un tel rose CB ?

À la base, je n’avais rien à voir avec le monde du tel rose CB. J’ai étudié les arts plastiques, puis j’ai travaillé plusieurs années comme assistante dans une galerie d’art à Nantes. J’adorais organiser les vernissages, mettre en avant les artistes, créer des ambiances… mais il me manquait quelque chose : le contact humain plus direct, plus sincère, moins poli. Pendant les expositions, je voyais des couples se frôler, des inconnus se regarder intensément devant un tableau, des tensions sensuelles s’installer sans que personne n’ose les nommer. Ça m’intriguait, ça me fascinait.
Un soir, en discutant avec une amie très libre, j’ai découvert l’univers du téléphone rose. Elle m’a expliqué qu’elle travaillait comme hôtesse, qu’elle écoutait les hommes se confier, fantasmer, se relâcher. Plus elle parlait, plus j’avais l’impression qu’on décrivait un terrain de jeu parfait pour ma voix, mon côté maternel mais coquin, et mon goût pour les confidences. J’ai tenté l’aventure “juste pour voir”, et je n’ai plus jamais décroché. Aujourd’hui, je suis une vraie cougar au téléphone, et j’assume ce virage de vie sans aucun regret.

Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton rôle de cougar au téléphone rose CB ?

Ce que j’adore dans ce rôle de cougar, c’est la liberté. Au téléphone, les hommes se permettent de dire des choses qu’ils n’oseraient jamais avouer dans leur quotidien. Ils me parlent de leurs envies, de leurs doutes, de leurs fantasmes un peu inavouables, et je suis là pour accueillir tout ça sans jugement. Je me sens comme une confidente sensuelle : je peux être douce, rassurante, presque maternelle, puis devenir plus joueuse, plus provocatrice, quand je sens qu’il a envie d’aller plus loin.
Les jeux de rôle me plaisent énormément. Certains m’appellent parce qu’ils cherchent précisément une tel rose cougar, une femme d’expérience qui mène la danse, qui les guide, qui leur propose des scénarios qu’ils n’ont jamais osé imaginer. J’aime construire l’ambiance, choisir les mots, jouer avec les silences, pousser un soupir au bon moment. Ce n’est pas seulement “coquin”, c’est aussi très psychologique : je perçois leurs blocages, leurs peurs, leurs désirs, et je les aide à se sentir plus libres dans leur sensualité. Quand un homme raccroche en me disant qu’il se sent à la fois apaisé et complètement retourné, je sais que j’ai bien fait mon travail.

Tu peux nous raconter ta fameuse rencontre dans une exposition d’art, celle où la tension montait à chaque regard ?

Cette soirée-là, je travaillais encore en galerie. C’était un vernissage assez chic, avec du vin, des petits fours, des conversations mondaines… et lui. Un homme seul, costume sombre, regard très présent, qui tournait autour des mêmes tableaux que moi comme si on dansait à distance. On ne se parlait pas, mais on se croisait sans arrêt, on se frôlait, on se volait des regards. Il y avait une toile particulièrement sensuelle, avec un corps suggéré, des courbes à peine esquissées. Je l’ai surpris à l’observer longuement, puis à glisser un œil vers moi comme pour vérifier si j’avais remarqué. Bien sûr que j’avais remarqué.
À un moment, il s’est approché pour me poser une question sur l’artiste. Sa voix était grave, posée, mais je sentais une tension derrière, quelque chose de retenu. On a parlé “art”, mais nos corps racontaient autre chose : nos épaules qui se rapprochent, nos sourires qui s’attardent, nos respirations qui se calquent. Il m’a effleuré la main en me tendant son verre, et ce simple contact m’a parcourue comme une décharge. On aurait pu tout faire ce soir-là, mais on s’est contentés d’une conversation prolongée, chargée de sous-entendus. Quelques années plus tard, quand un client me raconte une scène similaire au téléphone rose, je repense souvent à lui.

Et cette escapade en chalet à la montagne, avec jeux de rôle sous la neige, c’est réel ou fantasmé ?

Totalement réel, et c’est un souvenir qui nourrit encore beaucoup de mes scénarios au téléphone. J’étais partie en week-end dans un chalet avec un homme que je connaissais depuis longtemps, un ami devenu peu à peu plus qu’un ami. La neige recouvrait tout, il faisait froid dehors, mais à l’intérieur, le feu de cheminée créait une chaleur presque irréelle. On avait décidé de “jouer” : laisser nos rôles habituels de côté et se réinventer le temps du week-end.
Je me souviens de la sensation de mes bas sous une robe en maille, du bois qui craque, de la lumière orangée sur sa peau. On s’est inventé des personnages, des dialogues, des situations, comme si on tournait notre propre film secret. Il me donnait des consignes, je lui lançais des défis… C’était ludique, sensuel, intense, mais toujours dans la bienveillance et le respect des limites de chacun. Aujourd’hui, quand un client me demande un jeu de rôle au tel rose, je replonge mentalement dans ce chalet. Je retrouve cette ambiance de cocon, de complicité, et je la transpose dans ma voix pour lui faire vivre, à son tour, un moment hors du temps.

Tu parles souvent d’écoute et d’empathie. Comment ça se traduit concrètement avec tes clients au téléphone rose CB ?

Beaucoup d’hommes pensent au départ qu’un appel sur une ligne coquine, c’est juste pour “se vider la tête”. En réalité, ils se rendent vite compte que le plus fort, c’est ce qui se passe avant et pendant : la parole qui se libère, les aveux, les vulnérabilités partagées. J’ai des clients qui commencent très gênés, presque timides, et qui finissent par me dire des choses qu’ils n’ont jamais confiées à personne. Moi, je les accueille avec douceur, je pose des questions, je reformule, je les rassure. Je leur montre qu’ils ont le droit d’avoir des envies, des fantasmes, des curiosités.
Je suis une femme mature, je ne m’affole pas pour un fantasme un peu atypique. Au contraire, j’essaie de comprendre ce qui se cache derrière : un besoin de contrôle, de lâcher-prise, de réassurance, de tendresse… Et ensuite, je construis l’échange autour de ça, sans jamais les ridiculiser. Certains m’ont confié m’avoir découverte en cherchant un téléphone rose audiotel discret, juste pour “voir”. Aujourd’hui, ils me rappellent régulièrement, parce qu’ils savent qu’avec moi, ils peuvent être eux-mêmes, sans masque, sans performance imposée, juste dans le plaisir partagé.

Quel est ton plus grand fantasme aujourd’hui, celui que tu adores raconter au téléphone ?

Mon fantasme récurrent, c’est une nuit sur une plage déserte. Il fait suffisamment doux pour qu’on se balade pieds nus dans le sable, la mer est noire mais calme, et le ciel est couvert d’étoiles. J’imagine un homme qui m’attend déjà, assis sur une couverture, avec une bouteille de vin et ce regard qui dit “je sais très bien pourquoi tu viens”. Il n’y a personne autour, aucun voisin, aucun mur, juste le bruit des vagues et du vent.
Dans ce décor, les inhibitions tombent beaucoup plus facilement. Je peux me montrer telle que je suis : une femme sensuelle, assumée, prête à jouer, à provoquer, à se laisser guider aussi. J’aime raconter ce fantasme au téléphone rose en y incluant l’homme qui m’écoute : je lui décris la plage, la lumière, le goût du vin, la chaleur de ma peau contre la sienne. Je laisse mon interlocuteur se projeter à ma place, devenir ce compagnon d’une nuit sous les étoiles. Chaque fois que je le raconte, le scénario évolue légèrement, parce que c’est sa personnalité à lui qui vient colorer l’histoire.

Comment vois-tu la suite de ta vie d’animatrice de tel rose CB ?

Je ne me vois pas arrêter de sitôt. Ce travail me nourrit intellectuellement, émotionnellement et même artistiquement. Chaque appel est une petite scène, un nouveau personnage, une nouvelle histoire à écrire à deux voix. Bien sûr, je reste lucide : je prends soin de moi, je garde une vie privée équilibrée, je ne laisse pas tout envahir. Mais je sens que j’ai encore beaucoup à apporter comme hôtesse de tel rose, surtout en tant que femme expérimentée, bien dans son corps et dans sa tête.
À l’avenir, j’aimerais peut-être développer encore plus les scénarios, proposer des rendez-vous téléphoniques récurrents, suivre l’évolution de certains hommes dans leur rapport au plaisir et à la sensualité. J’ai aussi envie de continuer à explorer de nouveaux jeux de rôle, de nouvelles ambiances, sans jamais tomber dans la vulgarité gratuite. Mon objectif reste le même : offrir des moments intenses, élégants et sensuels, où l’homme raccroche en se disant qu’il vient de vivre quelque chose d’unique, rien qu’avec une voix… et une cougar nantaise qui sait très bien s’en servir.