Tel-Rose-CB-Soumise avec Emmy

Permettez-moi de me présenter à vous. Je m’appelle Emmy et j’ai 20 ans. Oui, je suis très jeune, mais très docile. Sous la frange de ma coupe de cheveux, mes grands yeux font tout mon charme. J’aime mes petites rondeurs que je n’hésite pas à exposer dans des tenues sexys. J’adore le sexe brut surtout. Je me fais un plaisir d’obéir aux ordres de mon maître sans broncher. Vous ne trouverez pas plus soumise que moi.

Raconte-nous une histoire de sexe vécue ?

Ma meilleure expérience sexuelle, je l’ai vécue avec Jean-Luc. Notre rencontre s’était faite dans le supermarché où je travaillais comme caissière. Dès qu’il s’est approché de moi pour régler ses achats, j’ai été chatouillée par son agréable parfum d’homme. Il dégageait un sex-appeal incroyable. Son sourire était à craquer. Jean-Luc est grand de taille, 1,95 m environ.

Je pouvais remarquer qu’il était un homme d’âge mûr. Pendant que j’enregistrais ses articles, il me dit d’une voix envoûtante : « je vous trouve mignonne mademoiselle ». Je n’ai pu m’empêcher de rougir. Il glissa discrètement sa carte de visite dans ma main avant de s’en aller. Deux jours plus tard, je l’ai contacté. Il m’a invité à dîner le lendemain et nous nous sommes envoyés en l’air ce même soir-là. Il était ainsi devenu mon plan cul régulier.

Jean-Luc était divorcé. Il vivait seul et n’avait sa fille avec lui que pendant les vacances. Nos parties de jambes en l’air se déroulaient le plus souvent dans son appartement. Il a une queue longue et épaisse dont il sait se servir à perfection. La douceur ne faisait pas partie de son vocabulaire sexuel. Il fourre, laboure, lamine et pilonne comme une bête en furie. Nos ébats sexuels n’étaient jamais monotones. Il y avait toujours de l’innovation. Chaque baise était unique.

C’est ainsi qu’il me proposa d’être sa soumise. L’idée me ravit. Quelques semaines après sa proposition, il passa me chercher à la sortie du boulot. J’ai remarqué un carton de lingerie soigneusement emballé dans sa voiture. Je devinais bien qu’il m’était destiné. Une fois chez lui, il m’ordonna de prendre une douche puis d’enfiler le porte-jarretelle qu’il a choisi pour moi. Je l’ai ensuite rejoint au salon. Il avait un verre de whisky avec des glaçons à la main.

Dès qu’il me vit, son regard pétilla. Il me saisit par la taille puis m’embrassa passionnément en laissant au passage le goût du whisky froid dans ma bouche. Jean-Luc ouvrit sa braguette et en sorti sa bite toute tendue. Elle sursauta au contact de mes mains. « Suce-moi salope », m’ordonna-t-il. Je me suis alors agenouillée pour le pomper avec ardeur. Il exerçait des pressions sur ma tête en disant des cochonneries.

Il me releva d’un geste brusque puis attacha mes bras avec une cordelette. Il était clair que j’allais passer un sale quart d’heure, mais terriblement jouissif. J’avais les fesses à l’air et la chatte moite. Il enfonça trois doigts en moi d’un coup. J’ai voulu crier, mais je me suis rappelé que cela faisait partie des interdictions à respecter.

Ma fente se faisait de plus en plus humide. Il remplaça ses doigts par sa grosse pine qu’il enfouit d’une traite dans ma chatte et qu’il ressortit aussitôt. J’étais déçue, mais ne pouvais pas le lui faire savoir. Pendant près de cinq minutes, il prenait plaisir à faire entrer et faire sortir sa queue.

Lorsqu’il se décida d’arrêter son manège, il empoigna mes cheveux puis se mit à me fouiller profondément le vagin. Je faisais un effort surhumain pour ne pas hurler mon plaisir. À un moment je n’en pouvais plus et j’ai laissai échapper un cri. La sentence ne se fit pas attendre. Il m’asséna des coups de fouet puissants. J’avais les yeux larmoyants.

Lorsqu’il mit fin à cette punition, Jean-Luc malaxa mes seins en tirant sur mes tétons. Mon anus subit aussi la fureur de son pénis. Ses assauts répétés m’exténuaient. Je me suis écroulée au sol pendant que Jean-Luc jouissait sur mon cul.