Cassis, qui es-tu derrière cette voix chaude qui fait fantasmer tant d’hommes ?
Je m’appelle Cassis, j’ai 52 ans, un corps mince, entretenu avec soin, une peau métissée douce comme la soie et des yeux noisette ambrés qui accrochent tout de suite le regard quand on me rencontre à Cannes.
Mes cheveux brun foncé mi-longs encadrent un sourire calme, rassurant, parce que je suis avant tout une femme douce, empathique, qui aime écouter et mettre à l’aise. Mais sous cette douceur, il y a une malice assumée, un goût pour le jeu, la provocation subtile, les sous-entendus qui font monter la température.
Je me sens bien dans mes talons aiguilles, ma lingerie fine, mes collants ou leggings moulants qui épousent mes formes… Même au téléphone, je sais que les hommes m’imaginent, et j’adore les sentir peu à peu se laisser guider par ma voix.
Quel a été ton parcours avant de devenir hôtesse de tel rose CB ?
J’ai grandi à Toulouse dans une famille aimante, où l’on m’a appris très tôt à prendre soin des autres. C’est tout naturellement que je suis devenue assistante sociale. J’ai passé des années à écouter, soutenir, apaiser, redonner confiance.
Avec le temps, j’ai compris que cette capacité d’écoute et d’empathie pouvait prendre une autre forme. Je ressentais aussi l’envie d’explorer ma propre sensualité, de ne plus me censurer. Le téléphone rose s’est imposé comme une évidence : un espace intime, discret, où je pouvais mêler mon sérieux, ma maturité, mon expérience de femme et mon côté joueur.
Aujourd’hui, mes deux enfants sont adultes, ma vie est stable, et ce travail est devenu mon terrain de liberté. Je ne suis pas là “par défaut”, je suis là parce que j’aime ce que je fais, parce que j’aime les hommes qui osent m’appeler et se confier à moi.
Comment décrirais-tu tes envies et ce qui t’excite lorsque tu es au téléphone ?
Je suis une femme de détails. Ce qui m’excite, ce n’est pas seulement ce qu’un homme veut faire, mais comment il me le dit, comment il respire, s’il ose dévoiler ce qu’il n’avoue à personne. J’adore les hommes qui ont des fantasmes assumés, ceux qui aiment la lingerie, les talons, les jeux de rôles, les scénarios un peu poussés.
Je peux être très tendre, enveloppante, comme je peux devenir plus autoritaire, plus piquante, quand je sens que c’est ce qu’il attend. La maturité m’a appris à ne pas juger. J’aime les fantasmes organisés, planifiés, mais avec cette petite part d’imprévu qui rend tout vivant. Avec moi, un appel n’est jamais mécanique : on construit quelque chose ensemble, sur mesure, dans la confidence.
Tu parles de scénarios… Raconte-nous cette fameuse rencontre en train qui t’a marquée.
Je voyageais entre Toulouse et la Côte d’Azur, un de ces longs trajets où l’on observe sans vraiment s’attendre à quoi que ce soit. En face de moi, un homme élégant, costume ouvert, regard franc. On a commencé par échanger quelques mots banals, puis nos yeux sont devenus plus insistants, nos sourires plus lourds de sous-entendus.
Ce que j’aime, c’est cette montée lente : le jeu des genoux qui se frôlent, la voix qui baisse, les silences qui veulent tout dire. Quand il m’a suivie dans le couloir, je savais déjà jusqu’où j’étais prête à aller, parce que j’adore ces moments volés, où l’on se sent comme deux inconnus complices. Je ne donnerai pas tous les détails, mais disons que la porte des toilettes s’est refermée sur une tension déjà prête à exploser, et que j’ai découvert à quel point j’adorais garder le contrôle… tout en lui donnant l’illusion que c’était lui.
Ce genre de souvenir nourrit encore aujourd’hui la manière dont je fais vibrer mes appels : réel, spontané, sans faux-semblant.
Et cette soirée entre amis qui a dérapé en jeu de rôles, tu peux nous en dire un peu plus ?
C’était une soirée très simple, quelques amis proches, du vin, des rires, des confidences qui se font plus intimes. À un moment, quelqu’un a lancé l’idée d’un jeu de rôles, presque pour plaisanter. Mais je suis du genre à prendre ce genre de défi très au sérieux.
Je me suis surprise moi-même à mener la danse, à distribuer les rôles, à souffler des idées, à pousser chacun à assumer ses envies cachées. Ce que j’ai adoré, ce n’est pas seulement l’érotisme, mais la liberté totale dans les regards, le fait de voir des adultes oser enfin dire : “Moi, j’aimerais…” sans honte.
Au téléphone, je retrouve exactement cette énergie. Je crée un cadre safe, confidentiel, dans lequel l’homme en face peut glisser dans la peau d’un autre, d’un patron, d’un inconnu d’hôtel, d’un homme timide que je viens doucement débloquer… Je suis très bonne pour ça.
Qu’est-ce que tu apportes de différent en tant que femme mature et ancienne assistante sociale ?
Je crois qu’on sent tout de suite que je suis présente. Je ne fais pas semblant d’écouter, je suis vraiment avec toi. Je perçois les hésitations, la fatigue, la solitude, la culpabilité parfois. Et je transforme tout ça en plaisir, en lâcher-prise.
À 52 ans, je connais les corps, les esprits, les angoisses et les désirs des hommes. Je sais rassurer, encourager, chauffer sans humilier. Je peux être cette confidente sensuelle qui t’écoute parler de ta journée… puis qui fait doucement basculer la conversation vers quelque chose de beaucoup plus chaud, sans vulgarité forcée.
Beaucoup d’hommes m’ont confié qu’ils m’avaient découverte en cherchant un tel rose sans attente et discret, et qu’ils sont restés parce qu’ils ont trouvé une vraie femme, pas un script.
Comment se passent tes appels sur tel-rose-cb.fr, concrètement ?
Quand tu tombes sur moi, tu sens tout de suite que je prends le temps. Je te demande ce que tu as envie de vivre, ce que tu n’oses pas dire, ce qui t’obsède en silence. Je t’aide à formuler, à affiner ton fantasme, à installer un décor, un rythme, une dynamique entre nous.
Je joue avec la voix, les silences, les images que je t’envoie. Je peux être ta maîtresse élégante à Cannes, la femme en talons dans l’ascenseur d’un hôtel, l’amie de longue date qui soudain te regarde autrement… Je suis là pour t’embarquer, pas pour regarder l’horloge.
Et si tu fantasmes sur les femmes noires sensuelles et sophistiquées, tu comprends vite pourquoi certains me considèrent comme leur référence black sur le site.
Quel message voudrais-tu adresser aux hommes qui hésitent encore à appeler ?
Si tu lis cette interview en te disant “j’aimerais, mais je n’ose pas”, sache une chose : avec moi, tu es en sécurité. Tu peux être toi-même, ou quelqu’un d’autre l’espace d’un appel, sans jugement, sans pression.
Je suis là pour ceux qui ont besoin de douceur, pour ceux qui rêvent d’une femme mature en talons qui mène le jeu, pour ceux qui veulent déposer un secret, un fantasme, une envie inavouée. Tout reste entre nous.
Compose, laisse-toi guider par ma voix, et découvre à quel point un simple appel peut faire la différence quand il est partagé avec la bonne femme.
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