Tel Rose CB Dominatrice avec Celine

Je t’interdis de m’appeler Céline, si tu ne veux pas être fouetté. Je suis ta maîtresse, ta dominatrice. Tu me dois donc du respect et de la soumission. Je suis loin d’être gentille. Avec moi, tu vas souffrir, et surtout en silence. Je te dresserai comme un petit toutou.

Ça, c’est juste un avant-goût de ce que je te réserve. Ça t’excite hein ? Bah moi, je m’appelle Céline, je suis brestoise et j’ai 28 ans. Sous mes grosses lunettes et ma fine taille se cache une accro aux plaisirs sadiques. Le BDSM est ma spécialité. J’adore punir, humilier et tenir mon soumis à ma merci.

Raconte-nous une histoire de sexe vécue ?

Il y a cinq ans, j’étais en couple avec François. Avenant, gentil, doux, mignon…, il était mon mec idéal. La cerise sur le gâteau ? Nous nous entendions très bien sexuellement. Nos séances de baises étaient autant torrides et jouissives les unes que les autres. Nous avions prévu de nous installer ensemble lorsque j’ai découvert qu’il me trompait avec l’un de ses collègues. Bien sûr, j’étais dégoûtée et j’ai mis un terme à notre relation.

Depuis lors je n’ai connu que des plans cul parfois réguliers ou justes occasionnels. Ma meilleure histoire de sexe, je l’ai vécue avec Jordan, mon coach sportif. Ah oui, plutôt que de m’apitoyer sur mon sort après ma rupture avec François, j’ai décidé de ne pas me laisser aller. Le sport était pour moi comme une thérapie pour éviter de déprimer. La première fois que j’ai rencontré Jordan, j’ai immédiatement flashé sur ses abdos en béton et son gabarit impressionnant.

J’ai bien remarqué que je ne le laissais par indifférent non plus. Le feeling passait bien entre nous. Au bout de la deuxième semaine de coaching, je me faisais sérieusement cogner par Jordan dans les toilettes de la salle de gym. C’était tellement intense que je l’ai invité à jouir dans ma bouche. J’avalai goulûment les différents jets de son foutre épais. Je ne voulais en laisser échapper aucune goutte.

C’est ainsi que nous avons entamé une relation de plan cul. Nos ébats se faisaient davantage dans mon appart. À la fin d’une partie de jambe en l’air hard, nous faisions un débriefing, lorsque je lui demande le fantasme qu’il aimerait bien réaliser. Jordan me fit alors part de son envie d’essayer le BDSM. Il m’a dit : « Je serai ton esclave et toi ma maîtresse ». J’avais déjà lu des romans et même visionné des films qui mettaient en scène ce genre de relation sexuelle qui ne me déplaisait absolument pas.

Nous avons donc décidé que je sois sa dominatrice et lui mon soumis, à notre prochaine rencontre. Pour cette expérience, je devais m’outiller. En plus de mes plugs anaux et mes géants godes, j’ai acquis des menottes bondage, un fouet en cuir, un collier et laisse, un bâillon, un cache-œil, des pinces et un anneau en caoutchouc pour testicules. Je m’imaginais déjà ce que je pourrais faire de Jordan le vendredi soir à 20 h.

Le jour-J, je lui ordonnai de se déshabiller lorsqu’il pénétra dans mon appartement. Il avait interdiction de me regarder dans les yeux, tant que je ne lui en avais pas donné l’autorisation. Jordan faisait attention à m’obéir, car il savait que je n’hésiterais pas à lui asséner des coups de cravache sur le cul s’il me désobéissait. J’étais vêtue d’une guêpière en latex avec des jarretelles intégrées que j’avais assortis à des escarpins en cuir.

« Mets-toi à quatre pattes ! », Jordan s’exécuta immédiatement. Je le trainais ainsi dans mon appart avec la laisse en cuir que je lui ai fait porter. Le spectacle qu’il donnait à voir me réjouissais au plus haut point. « Lèche mes talons ! » Il s’exécuta sur champ.

Je lui intimai ensuite l’ordre de se coucher sur la moquette du salon, ce qu’il fit sans broncher. Je m’assis alors sur son visage (facesitting) en prenant le soin de rapprocher ma chatte de ses lèvres. Il comprit le message et se mit à me faire un cunnilingus avec soin. Lorsque j’atteins l’orgasme, je giclai dans sa bouche et il s’empressa d’avaler mon élixir de jouissance.

Je menottai Jordan (les mains dans le dos) et le suspends à un crochet anal. Pour pousser l’humiliation encore plus loin, je lui crachai au visage avant d’abattre des coups de cravache sur ses fesses. Après lui avoir retiré le crochet anal, je le branlai vigoureusement puis lui baisai son orifice anal avec un gode anal jusqu’à ce qu’il éjacule. Je m’en suis arrêtée là pour cette première expérience BDSM avec Jordan. Elle était plus que satisfaisante pour me convaincre de devenir une dominatrice.

Raconte-nous un fantasme ?

Depuis que j’ai commencé le BDSM, j’ai été toujours l’unique maîtresse. J’aimerais alors bien me faire accompagner d’une autre maîtresse (plus méchante) pour prendre en main le soumis. Deux maîtresses à la fois pour te soumettre et t’humilier, c’est plutôt tentant non ?

Que fais-tu au Tel Rose ?

Je suis présente sur Tel Rose pour te donner du plaisir, mais pas n’importe lequel. Il s’agit d’un plaisir dans la souffrance et dans la douleur. Crois-mois, je ne te ferai pas cadeau.